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  •   Il écrasa son mégot d'un air décidé. Ca y est, il arrêtait la cigarette. Mais pas pour la raison qui pousse des centaines de personnes à le faire chaque année : parce que ça donne tout un tas de saloperies. Non, ce qui l’incite à arrêter c’est plutôt que ça sent fort, fait tousser et permet aux flics d'avoir son ADN.
    Un regard lancé à la ronde suffit à lui confirmer  qu'il était seul. Il est vrai qu'à cette heure de la nuit, les rares personnes susceptibles de le croiser ne marchaient plus droit, mais il valait mieux prendre ses précautions. Il fit le tour de sa voiture et ouvrit le coffre. Cette nuit, la subtilité est mise de côté, ça sera dans le sonore et le dégueulasse. C'est pourquoi il à pris un pompe à cartouches explosives. Avec un sourire sur les lèvres et le pompe dans la main droite, il referma le coffre et traversa la rue. Il monta le perron et toqua à la porte. Même dans son boulot, rien n'empêche d'être poli. Une sculpturale beauté vint lui ouvrir, son peignoir ouvert sur une nuisette très, très légère. Son air contrarié fit place à de la stupeur, puis à une peur panique. Cet aspect de sa profession l'agaçait passablement, mais c'était parfaitement compréhensible. Après tout, qui ne serait pas dérangé à la vue d'un colosse armé d'un fusil à pompe, trop à l'étroit dans son débardeur et son jean, avec une méchante tête de truand et qui venait toquer à la porte aux alentours de quatre heures du matin. Il lui sourit et entreprit de la rassurer. Il n'était pas là pour elle, ce qui l'aurait profondément peiné si cela avait été le cas. Belle comme un ange, avec une chevelure châtain indomptée et des yeux gris magnétiques, elle était sans conteste une merveille. Il s'interrompit, se sentant une fois de plus lourdaud et ridicule. Il ne dit qu'un mot, un nom avec un point d'interrogation au bout. Elle lui répondit du regard. Il l'invita à mettre quelque chose de plus chaud et d'aller dans sa voiture, le temps qu'il fasse ce qu'il avait à faire. Elle acquiesça et sorti précipitamment.
    Bien, ça allait chier méchamment. Il grimpa les escaliers, faisant grincer les marches. Selon les informations, sa cible se terrait dans cette maison, protégée par cinq gorilles. Justement, le premier passait la tête par l'encadrement d'une porte, les yeux ensommeillés. Avant de pouvoir réagir, le colosse se jeta sur lui et lui colla un coup de crosse dans la tempe. Le temps des boums viendrait après. Il écrasa la trachée de sa victime d'un bon coup de talon, histoire d'être sûr de ne pas avoir à le descendre une deuxième fois. Il jeta un œil dans la pièce ; apparemment, l'homme s'était assoupi sur le trône. Comment peut-on être aussi distrait ? Il referma la porte, le macchabé à l'intérieur et explora l'étage. Il ouvrit une autre porte et se retrouva nez à nez
    face à un punk regardant un porno devant une vieille télé pourrie.. Il tira au niveau de l'entrejambe, par réflexe, faisant ainsi voler un bout de l'engin et quelques doigts. Il réitéra son coup de feu, cette fois-ci dans la caboche de l'eunuque, afin que ses braillements cessent. Des bruits de pas précipités et des éclats de voix se firent entendre et il s'embusqua dans un coin du couloir. Le troisième gorille déboula et se fit emporter une partie du buffet dans une gerbe de sang. Le quatrième arriva à sa suite et fit tomber une grêle de plomb sur l'assassin, qui fit une pirouette sur le côté, tout en tirant en plein vol. Aucune chance de toucher le garde du corps ; le mur se prit la cartouche, qui pulvérisa un morceau de plâtre dans un nuage de poussière, aveuglant pour quelques instant le garde. L'assassin se réceptionna en beauté et tira une deuxième cartouche qui faucha le genou gauche de son adversaire. Celui-ci tomba dans un cri atroce. Cri rapidement interrompu par une énième cartouche. Il mit sa main dans sa poche et en ressorti une poignée qu'il fourra dans son pompe. Un grincement de bois lui signifia que certains tentaient de se faire la malle. Il se précipita à l'escalier et tira dans le dos du dernier garde qui s'affala sans un son.
    D'un air perplexe, il regarda la porte, toujours fermée. Il n'y avait plus de garde, mais sa cible n'était pas dans son champs de vision. Il se retourna à temps pour voir un direct lui arriver dans la mâchoire. Il dégringola les escaliers puis se releva, grognant plus d'indignation que de douleur. L'autre lui sauta dessus dans un magnifique coup de pied sauté. Magnifique mais totalement inutile. Le colosse se décala, attrapa sa tête et la fit cogner contre le mur le plus proche. Elle éclata dans un bruit mélangeant le spongieux et le craquant, l'éclaboussant de sang et de cervelle.
    D'un air satisfait, l'assassin récupéra son arme et quitta la maison devenue morgue artisanale. La fille s'apprêtait à sortir de la voiture mais il lui fit un geste l'en empêchant. Après avoir rangé son pompe dans le coffre, il prit la place du conducteur et informa sa voisine d'un air gêné que l'intérieur avait été subtilement redécoré, ce qui ne manquerait pas de lui déplaire. C'est pourquoi il lui offrait une nuit ou deux dans l'hôtel de son choix, le temps que l'équipe de nettoyage passe faire le ménage.


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  • La semaine De treve coïtique etait deja bien entamée, ce fut un par un jeudi pluvieux qu'aux portes de Pin' city une ombre au troisieme pied proéminant fit son apparition. Le brave héros grièvement blessé se trouvait au milieu d'une foule hystérique qui l'acclamait de toutes parts. Mais, contrairement à son habitude, il tituba jusqu'au domicile de son ami.
    "Toc Toc Toc," Ce bruit d'un poing brut mais maitrisé sur la porte de son foyer fit se précipiter Irondick vers sa porte, c'était inesperé! Il etait donc vivant dieu soit loué, je n'y croyais plus dit il. Ouvrant la porte ils se serrent la main energiquement puis, a la vue de la mine depité du fornicator Iron dick comprit qu'il etait de son devoir de lui colporter les denrieres nouvelles de la guerre ainsi que de la réputation que le héros avait acquise au cours des derniers mois. Il était un héros national, adulé par les races vivant en terre non congelée, qu'ils aimeraient bien l'inviter à dîner mais que les terriers de lapins seront trèèèèès étroits.
    La rumeur courait aussi que coté ours, dans les nombreux bastion de resistance qui jalonnaient la contre le fornicator etait le fleau, l'homme a abattre. La guerre elle avait beaucoup progressé : Les ours poussés dans leurs derniers retranchements faute d'une armée forte et unie se diviserent en caste et nombre de ces castes renierent Scablob, le dieu en manque de fidele disparut pour s'exiler on ne sait ou surement pour preparer sa vengeance.
    Souriant le Fornicator expliqua a son tour les souffrances qu'il subit pendant la longue bataille des Cols roulés et la section lors de la capote glaciere.Mais, il restait néanmmoins dépité de savoir que la victoire n'etait pas total et que Scablob etait toujours assez puissant pour revenir. Irondick voulut proposer un café estampillé Durand, qui selon Iron vous donnait l'haleine d'un phoque mais l'energie de l'écureuil vivace. Mais ils furent interrompus par l'apparition au millieu du salon de l'hote d'un Panneau de communication en forme de Phallus :
    Irondick : "Le gouvernement! Ils perdent pas de temps..Une mission pour nous je suppose..."
    En effet, il leur fut alors expliqué qu'au sud de l'Amerique un temple Maya presentait une activité hormonale inhabituelle voire trop élevée. Irondick & Fornicator se dépêchèrent d'aller chercher leurs combinaisons de combats parfum banane et leurs recharges de drogues de combats. Ils mirent au point une tactique de combat ; Irondick à l'avant, servant de bouclier et Fornicator à l'arrière, pour dégommer à distance les éventuels adversaires. Car, après tout, une telle intensité voulait dire ... :DANGER !!! Ils arrivèrent devant la porte quand soudain, une flopée d'écureuils fous sortirent des fourrés alentours et s'attaquèrent à eux. Cependant, Irondick, rapide, sortit son arme d'acier et les démoli les uns après les autres. A la fin du combat, il rouspéta un coup, un ennemi avait laissé une rayure sur son arme tant de fois astiquée avec soins. Un rayon de soleil illuminant les instruments de nos deux guerriers, un triste spectacle se dévoila a eux : Autour du temple maya gisaient des animaux visiblement victimes de scablob, tous niqués a mort! Versant une larmichette (a savoir laquelle apres ca hein...) Nos heros rentrerent les armes dans les fourreau faisant zipper leurs braguettes en acier polymerisé Et enfoncerent la porte de pierre protégeant l'autel impie. Peu surpris c'est cette fois au chef des Ecureuils le Durandus Kifouerus qu'ils eurent a faire face. Ce monstre alchimiste de renommée mondiale avait subi une mutation Intestinale apres une experience ratée lui proférant une Haleine capable de dissoudre le plus resistant des metaux.

    Durandus :"Squiggle Potassium Squiggle comment dire Squiggle tuer Squiggle chlorure de sulfate!"
    Irondick :"Bordel jcomprend queud, allez let's go!"

    Sa terrible arme metallique tournoyant Irondick s'élanca en formation Pickles sur le durandus. Il lui assena un coup violent au visage qui se crispant exhala une terrible fumée verte! Poussant un cri Irondick tomba au sol, le membre avait été durement touché! Heureusement son alliage d'adamanteub(Désolé mes excuses a la famille toussa toussa...) eut réparé les bijoux en peu de temps.Le durandus se jeta sur Irondick qui etait maintenant pétrifié par l'odeur! Le fornicator déclencha son Bankaï : Lassaut Temporel! Le temps ralentit alors, tout autour de lui s'immobilisa et, assenant mille coup de fouets d'une incroyable violence il brisa le durandus en mille Morceaux libérant Irondick de son emprise. Mais ce dernier n'en sortit pas indemne : Son equipement favori nommé Cheum Iz avait été amoché de maniere irreversible par l'horreur chimique. Le héros amputé attrapa son camarade à terre, le hissa sur son épaule et courut jusqu'à l'oursonef volé lors de la dernière Grande Guerre. Il mit les réacteurs à fond et parti vers Pin' City, affolé ( ce qui chez lui se traduit par un : " ôoooooh.... meeeeeerde.... " ). Arrivé à destination, il reprit son ami sur l'épaule et fendit la foule vers l' hostipôle le plus proche afin de faire une grèffe bionique. 
    Quelques heures apres l'hospitalisation, la rage du fornicator eclata : Je le vengeraiiiiiiiiiiiiiiisss.....

    Il n'eut de cesse de s'entrainer pendant des jours et des jours.Irondick toujours convalescent ne pouvait parler il etait encore assomé il ne se reveillerait que d'ici plusieurs semaines le temps de l'extraction expliquerent les medecins. Les boules a Zero, Fornicator sur de lui et de son nouveau coup secret prit la direction du temple. Sa puissance etait telle qu'aucune resistance ne s'opposa a lui, les cadavres apres son passage etait legions, et une semaine apres son entrée dans le temple (Qui faisait la taille d'une grange) il atteint le sommet de l'autel Scablobique . Cette fois il faisait face au responsable de tout ses tourments, le terrible l'incroyable EVERYWHERE HE IS : Scablob!

    Sans dire mot nos deux adversaires entamerent un combat sans merci ou la seule issue serait la mort. Chaque coup fourré de scablob etait douloureux pour Fornicator, mais sa barriere protectrice ne lachait pas son aura temporelle ralentissant considérablement Scablob, puis rapide comme l'éclair au chocolat de chez Mme Bertin notre héros frappa le dieu blob de plein fouet. Ce dernier peu resistant fut envoyé avec une telle violence au sol qu'il ne put se relever. Les yeux du divin se plongerent alors dans ceux de fornicator. Comme hypnotisé le guerrier se laissa absorber par ces yeux terrifiants. Puis, Scablob prononca ses derniers mots comme s'il demandait pardon a notre heros : Fornicator je... je suis ton Pere!
    NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON
    C'est alors qu'un guerrier pygmée de l'empire Spartiate fonca sur lui le précipitant au sol puis, avant de l'assomer Fornicator entendit ces derniers mots : ZIIIIIIIIIIS IZ SPARTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA



    Dans notre prochain Episode : "L'empire des cons attaque" vous connaitre enfin la dénouement de la terrible trilogie : Un homme seul dans les prairies se fait chier alors il conte une histoire koncomprendrienmaiscépagrave


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  • C'est par une nuit sans lune rouge mais verte qu'ils apparurent dans leurs pastèques géantes roses fluo

    les gorbulks, bande d'extraterrestres sodomites venus conquerir notre belle planete pour copuler avec nos... PARCMETRES!

    ils débarquèrent dans un près et essayèrent les vaches, mais, les trouvant peu maniables, ils partirent plus en aval, près des littoraux, dans la ville ( tadaaaam )

    la, monsieur hebert leur expliqua les dangers et les qualites des littoraux europ ens. Convaincu ils s'installerent apres un long voyage sur la banquise et construirent la cité parcmetre ou les pingouins etaient devenus objets des pires fantasmes et desirs existants

    et les ours, tristes, durent alors partir en séances de groupe chez un psychologue qui leur expliqua que, selon le verset 666 du chapitre 999 du livre n 777 du culte de Skablob, il leur fallait déclarer la guerre aux gorbulks et les soumettre comme eux avaient soumis les pingouins.

    une guerre sanglante débuta alors, la blanche banquise se transformant peu a peu en un bloody mary géant.Les enculages Hassec, opérations terroristes de haute importance etaient tres pratiquées jusqu'a la révolution, la venue du divin scablob dans les camps de resistance Ours

    ce qui, après avoir causé un grand : " Et moi ??? " dans les deux camps, changea profondement la méthode des ours. Ceux-ci devinrent des fanatiques de leur cause et devinrent plus redoutables qu'avant du fait de l'apprentissage que leur maître leur dispensait. Ces gros nounours, habituellement patauds apprirent à se déplacer furtivement, baisser ou agenouiller la victime à 4 pattes avant qu'elle ne s'en rende compte et finir le travail proprement

    Leur vitesse etait telle qu'on ne detectait leur mouvement que par le crac,bruit caracteristique de l'uniforme ennemi lachant sous la pression des Ours, puis possedés par Scablob le grand la question du, ET eux? se posa quand aux humains, construisant un oursonef ceux qui seraient nos futurs adversaires, les cauchmears de nos sphincters se preparaient a nous approcher...

    Les humains donc, en prévision des affrontements en vu, firent main basse sur les drogues de combats, appelées aussi Afro-10-Ziaks, et les uniformes de combats aux senteurs camouflages diverses et variées. Les ours et leur terrible Seigneur Skablob le Grand n'affronteront pas des adversaires démunis comme les Gorbulks. Les humains essaimèrent des savonnettes un peu partout afin de piéger les ours


    Parallelement un savant connu sous le nom d'hero Tique etaye une these nommée "pourquoi les bonhommes qui brillent dans les films de gladiateurs" En effet, selon le théoreme de quel est le muscle on a deduit que l'age du capitaine permettrait de neutraliser la folie sexuelle des ours. Mais le dieu Scablobs lui etait toujours present cette these devint alors obsolete et notre Savant Hero Tique se recycla dans le porno (C'etait la parenthese historique)


    cependant, un jour arriva où , au beau milieu des combats entre les ours et les humains ( qui avaient l'avantage technologique ), surgit une créature qui tétanisa les ours ; c'était le .... FORNICATOR !!! Il était seul, mais, part peut-être Skablob le Grand, personne ne pouvait le battre de vitesse, de précision, et de puissance. Il retournaut les crêpes pour donner du courage lors des trêves et se conduisait comme Rambo dans la bagarre ; tantot il utilisait son gourdin comme.... euh... comme un gourdin, tantot comme un lasso, tantot comme un canon de gros calibre. Il les abattait tous tandis que les savonnettes faisaient leur effet ( les ours se penchaient pour ne pas glisser et... PAPAPA !!! ). Petit petit, le cours de la guerre changea gr ce cet lus des Dieux et les ours furent repoussés au fur et mesure des victoires humaines dans leur bastion, la capotte glaciaire. Le camouflage humain ne servit à rien et devint vite obsolète dans ces contrées où la fraise, le chocolat et la banane ne poussaient pas dans tous les coins. Il essayèrent la sueur de morse mais, après de sanglants incidents, stoppèrent les recherches pour manque de volontaires.


    Cet appareil capable de reproduire un son d'une violence et d'une laideur rare a la moindre blague salace qui lui etait racontée (son carburant) avait été utilisé dans le but de creer une diversion permettant a nos héros humains de passer par la petite porte! (Je vous laisse deviner laquelle petits pervers..) Se révélant efficace cette machine permit a notre héros le fornicator de percer les lignes ennemies avec brio et violence (c'est la cas de le dire). Mais le froid ralentissant notre Fornicator il lui fallut 150 ans pour parcourir les 150 metres separant la base ennemie de leurs postions. Quand le fornicator arriva sur les lieux, maintenant deserts il déposa en 2 ans une banniere témoignant de la victoire humaine! Sa vitesse surhumaine.. pardon..; soushumaine lui avait permis de resister a la pression temporelle de la capote glaciere et il avait transformé le dur essai qu'etait cette mission en succes. Malheureusement, sur le chemin du retour notre héros se vit pris dans une embuscade d'écureuils guerriers de Durandilia, criant : COMMENT DIRE ils parvinrent a lui sectionner 1kilometre de tuyau, oui, la liaison avec la base etait maintenant rompue et il ne restait au fornicator qu'une soixantaine de metres de tuyaux. Le légendaire héros etait devenu un blessé de guerre, estropié a vie unibouliste (Les ecureuils n'ayant pas manqué de lui sectionner une boule de bowling croyant qu'elle etait une noisette divine.) Agonisant sur le sol froid de la banquise, Le fornicator fixant les ecureuils qui lui faisaient de magnifiques doigts reluisants a l'horizon cria : I'LL BITE oops... BE BACK!

    .. La suite au prochain episode, Le retour un jeudi!


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  • Pour tous ceux qui comme moi ne savaient pas ce qu'est le lait de poule, voilà la recette et son histoire ( fissa l'histoire... ) :

    Histoire :

    Le lait de poule (en anglais : eggnog) est une boisson à base de lait, de crème, de sucre et de jaune d'œuf parfumée à la noix de muscade ou à la cannelle que l'on servait traditionnellement le soir de Noël, mais qui est aussi dégustée pendant l'hiver. La version traditionnelle de l'egg nog inclut une eau-de-vie comme du rhum, un brandy ou du whisky.

    Il peut être servi dans un bol à punch, mais il peut aussi être préparé avec l'aide d'un shaker, et figure dans tous les recueils de recettes de cocktails. En Amérique du Nord, la version non-alcoolisée est souvent disponible dans les magasins et les cafés pendant la période des fêtes de fin d'année, et tout au long de l'année en Australie. Une version alcoolisée nommée Eierlikör ou liqueur aux œufs, comportant aussi du miel est très populaire en Allemagne et aux Pays-Bas.

    Cette boisson reconstituante (lait chaud, oeuf, sucre) était servie aux enfants en France en hiver dans les années 1930. Elle remonte en Europe au moins au Moyen-Âge (Saint Louis au XIIIe siècle), en tant que nom générique pour un type de boisson chaude contenant de l'œuf cru (jaune ou entier, d'où son nom), du sucre et un liquide chaud (de l'eau de fleur d'oranger, plus tard du lait) avec un doigt d'alcool en option, et utilisée comme reconstituant pour les malades et les accouchées.


    Ingrédients :
    25 grammes de sucre
    1 jaune d' oeufs
    1 cl de rhum blanc
    10 cl de lait
    1 pincée de cannelle


    Préparez la recette du Cocktail Lait de poule à l'ancienne à la casserole. Chauffer le lait avec la cannelle.
    Mélanger le jaune d'œuf et le sucre pendant 4 à 5 mn.
    Ajouter le lait chaud en battant sans arrêt avec le fouet.
    Ajouter le rhum et boire chaud.

    Servir dans un verre de type "tasse"


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